DES VIDÉOS POUR DÉMYSTIFIER LA VIOLENCE CONJUGALE
En 2020, le Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale et ses maisons membres se sont associés à la très colorée et toujours éloquente Catherine Éthier, qui est ainsi devenue la marraine de l’organisme.
Plusieurs vidéos de sensibilisation ont été réalisées, mettant en vedette Catherine Éthier. Avec son verbe acéré et ses images hautes en couleur, elle profite de ces capsules pour brasser la cage, égratigner quelques préjugés au passage et conscientiser les plus jeunes aux différents visages de la violence conjugale.
Campagne 2024
Campagne 2023
Entretien avec Laurence Jalbert
Entretien avec Lili Boisvert
Entretien avec Anglesh Major
Entretien avec Florence Longpré
Entretien avec Jade Charbonneau
Entretien avec Marwah Rizqy
Campagne 2020/2021
Centrées sur la reprise de pouvoir des femmes, les capsules nous plongent dans ces situations de la vie quotidienne que de nombreuses jeunes femmes ont déjà vécu : une relation amoureuse qui dégénère, la jalousie qui s’installe, l’isolement progressif d’une amie, le bulletin de nouvelles qui annonce un énième décès d’une femme aux mains de son conjoint.
Comment reconnaître les signes de la violence conjugale ? Comment intervenir si l’une de nos proches est concernée ? Comment expliquer que les femmes ne quittent pas un partenaire violent ? Ces vidéos visent à nous interpeller sur nos relations et sur le rôle que nous pouvons tou.te.s jouer pour soutenir des proches. Elles sont aussi l’occasion de faire connaître les ressources que sont les maisons d’aide et d’hébergement.
Capsule #1 – Violence conjugale : pas juste des coups
Capsule #2 – Violence conjugale : des maisons pour rebondir
Capsule #3 – Violence conjugale : ça nous regarde
Capsule #4 – Violence conjugale : quand l’amour emprisonne
Capsule #5 – Violence conjugale : respirer à nouveau
Campagne 2022
Violence conjugale : « si j’en parle, ce sera pire »
Violence conjugale : « Mais c’est un bon père »
Violence conjugale : « Il n’est pas toujours violent »
Violence conjugale : « je n’ai pas ma place en maison »