Un collectif de chercheures dévoilera le 9 novembre prochain un nouveau rapport de recherche qui documente des failles et des obstacles structurels du système judiciaire quant à la prise en charge des actes criminels commis en contexte conjugal, principalement en lien avec l’usage du 810.
À partir de l’expérience de femmes ayant entrepris des démarches judiciaires pour faire cesser la violence conjugale, cette recherche identifie également des pistes d’action pour améliorer la réponse du système de justice et des services policiers à ce type de violence.
Ce rapport est le fruit d’un partenariat de recherche entre le Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale, le Service aux collectivités de l’UQÀM ainsi que des chercheures de deux universités (Myriam Dubé, Rachel Chagnon, Mylène Laferrière Abel, Nathalie Plante, UQAM; Marie-Marthe Cousineau, Université de Montréal).
Événement de lancement
Le dévoilement du rapport sera diffusé en Facebook Live à partir de la page du Regroupement.
Soyez des nôtres pour en apprendre davantage sur le parcours de femmes victimes de violence conjugale dans le système de justice criminel.
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