Le témoignage de l’entrepreneure Elisabeth Rioux, victime de violence conjugale, a démontré une fois de plus que le fardeau repose sur les survivantes, estiment des expertes, qui soulignent que la responsabilisation de l’agresseur présumé est passée complètement sous le radar.
« L’apparence physique ou la popularité de quelqu’un ne devrait jamais éclipser tout le courage que ça prend pour dénoncer une situation de violence conjugale », note Chantal Arseneault, présidente du Regroupement des maisons d’hébergement pour femmes victimes de violence conjugale.
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par Améli Pineda – 12 novembre 2020