Le présent rapport porte sur les obstacles à la justice rencontrés par les femmes issues de l’immigration, racisées, autochtones, en situation de handicap, sourdes et des minorités sexuelles et de genre, sur le travail des intervenantes communautaires les accompagnant et propose des pistes de transformation pour mieux adapter le système aux besoins et réalités de ces femmes.

Dévoilement d’une étude partenariale sur les obstacles vécus par les femmes marginalisées victimes de violences sexospécifiques face à la justice et pistes de transformation

C’est en partenariat avec quatre organisations luttant contre les violences faites aux femmes que la professeure Geneviève Pagé et la chercheure étudiante Sarah Thibault (M.A. science politique) de l’UQAM ont dévoilé, le jeudi 24 mars 2022, les résultats d’une étude portant sur l’accès à la justice pour les femmes marginalisées victimes de violences sexospécifiques, soit la violence conjugale, les agressions à caractère sexuel et l’exploitation sexuelle. 

La première phase des travaux, dévoilée en 2018, avait permis de dresser un portrait des obstacles rencontrés par les femmes victimes de violence dans le système de justice pénale et des leviers possibles afin d’améliorer leur accès à la justice. Le dévoilement du 24 mars, lui, a exposé les différents obstacles rencontrés par les femmes issues de l’immigration, racisées, autochtones, en situation de handicap, sourdes et/ou des minorités sexuelles et de genre, le travail des intervenantes communautaires les accompagnant en plus de proposer des pistes de transformation pour mieux adapter le système aux besoins et réalités de ces femmes.

 

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Justice pour les femmes marginalisées victimes de violences sexospécifiques


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